La voie du tablier
Kimetsu no yaiba - mugen no rensha
Josee to Tora to Sakana-tachi
La relation des protagonistes, tous deux jeunes adultes, est en constante évolution (en résumé, ils partent de loin !). Une histoire d'amour douce, divertissante, mais qui n'aura pas eu sur moi l'effet saisissant de certains Ghibbli ou Makoto Shinkai. SK8 the infinity
Fruits Basket - saison finale
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Jujutsu kaisen
Higurashi gou
L'attaque des titans - SF
Re:zero S2.2
Une suite peut-être un jour ? Car la trame principale reste totalement ouverte et les ennemis nombreux à affronter. Dr. STones - S2
The promised neverland - S2
Cette adaptation est mauvaise. Lisez le manga, l'histoire est fantastique. Given - le film
Horimiya
Avec du retard, le bilan de la 4e année de revus anime sur ces chroniques. Comme pour tous, cette année aura été complexe à plusieurs égards. Notamment, j'ai clairement été dans un état de relâche vis à vis des animes, préférant d'autres mediums, ou revoir des animes vus ces dernières années (très nombreux) et dont je ne peux en toute légitimité pas reparler ici bien qu'ils aient fait partie intégrante de mon année 2020. La preuve en est ma saison automnale, qui n'intègre qu'un seul anime, les autres animes en cours que j'ai pu suivre continuant la saison prochaine.
Alors, dans ces conditions, quel top 10 ?
Golden Kamui - s3
Araki Hirohiko Steel Ball Run est la 7e partie de la saga Jojo Bizarre Adventure, dont j'ai déjà parlé dans l'espace consacré aux séries, et ici même pour la partie 6. Comment résumer ce que ces 24 tomes m'ont fait ressentir ? Je n'avais pas eu de tel coup de foudre pour une saga littéraire depuis Loup Solitaire, il y a quinze ans. Les deux n'ont rien de comparable, hormis l'attachement considérable que j'ai pour l'univers et les personnages. Cette partie 7 ne se veut pas suite de la partie 6. A vrai dire, elle est quasi indépendante de tout ce que l'auteur a développé précédemment, même si les clin d’œil ne manquent à l'évidence pas. Le ton a pris en maturité, les personnages sont complexes, développés via de multiples flashback, et n'ont pas cette polarité forte du bien et du mal qui régnait sur peut-être les quatre premières parties. Steel Ball Run se pose dans un contexte historique précis, avec un défi gigantesque comme trame de fond : une course hippique traversant l'entièreté des États-Unis en 1890. Ceci n'est que le pitch de départ, car l'histoire décolle complètement au bout de quelques tomes - et les premiers ne sont pas mous pour autant, loin de là ! Comme beaucoup, la seule chose que je peux regretter est la fin choisie par l'auteur, qui pose la question de la finalité recherchée et du capacitisme autour du protagoniste. Ça n'en reste pas moins une aventure formidable, que je peux que recommander, et dont j'attends avec impatience la perspective d'une adaptation animée. Nakagawa Kaiji Route End est un manga thriller d'horreur dont j'ai entendu parler dans un article cet été. Il s'agit en effet d'un suspense réussi, parfois gore, et qui permet de passer un bon moment. Pas trop tiré par les cheveux, mais difficilement devinable longtemps avant la fin, l'équilibre est réussi et les personnages assez attachants. Une lecture agréable. Pierre Bordage Métro Paris 2033, inspiré de l'univers de Dmitri Gloukhovski est un roman se déroulant sur le même principe dans le métro parisien. L'histoire est originale, les personnages nombreux et attachants, avec des problématiques et profils très diversifiés. Indéniablement écrit avec davantage de fluidité que le roman éponyme à la base de l'univers, les thèmes abordés vont de l'humanisme à la politique, la guerre, les ressources. J'ai adoré la lecture de ce livre et attend beaucoup de la suite. Jérémy Ferrari Je connais Jérémy Ferrari depuis des années et suis fan de ses spectacles. J'ai profité du confinement pour faire l'achat des livres qui en sont dérivés. Happy hour à Mossoul est un très bon complément de Vends deux pièces à Beyrouth, avec de très nombreuses informations géopolitiques méconnues. Hallelujah Bordel le livre est plus proche du spectacle, et se pose comme un bel objet répertoriant de petites informations, plus dispensables. Angelo Casilli J'ai entendu parler de Dix petits pions sur les réseaux sociaux, et ai décidé d'acheter le livre en promotion sur Amazon. C'est encore une fois un bon suspense, volontairement ouvert et ne donnant pas les clefs de résolution à la fin de l'histoire - il se pose clairement comme livre à relire. Il y a clairement un relent de la saga Saw, dans la construction et le côté gore assez important, et n'est donc pas à placer entre toutes les mains. Il reste néanmoins original et change des classiques du genre. Liz Braswell Histoire Éternelle est, comme le nom le laisse supposer, une réécriture de la Belle et la Bête de Disney. L'auteure développe un contexte et univers intéressant où développer son histoire, insistant sur les origines de ce qu'il se passe dans le film. Le monde est riche, les personnages ne sont pas manichéens. Je regrette un côté un peu simplet de la relation entre la Belle et la Bête, qui laisse peu de place au développement. Au final, Histoire Éternelle n'est pas vraiment une histoire d'amour, pas entre Belle et la Bête. Les antagonistes sont bien exploités et choisis, en bref, une lecture agréable, à mettre à égalité avec beaucoup de fanfictions qualitatives. Tanabe Gou Nouvelle adaptation illustrée de la nouvelle de Lovecraft, l'Appel de Chtulhu, comme toujours Gou Tanabe aura fait un excellent travail pour représenter l’inénarrable, rendant peut-être cette histoire plus accessible dans son enfilade de témoignages. Charlie Higson Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu de nouveau livre dont vous êtes le héros, et ce volume reste très récent dans la série Défi Fantastique. Il s'agit d'un opus agréable, prenant place en Alliansia et se définissant par une épopée à travers le territoire. Le livre se présente plus ou moins en parties, n'est pas linéaire et demande une bonne gestion de l'inventaire et des dires des personnages secondaires. Il est réussi et accessible. Je regrette qu'il n'y en ait pas d'autres de cet auteur car le résultat est vraiment qualitatif.
Overlord
Ahiru no sora
Fruits basket - S2
God of highschool
Food wars - s5
Re: ZERO - S2.1
Dorohedoro
Jean Van Hamme / Philippe Francq Cela fait des années que je me décris comme fan des bandes dessinées Largo Winch, et j'ai profité de la réouverture des librairies post-confinement pour me remettre à jour sur cette saga ! Les diptyques sont toujours aussi bons, avec des problématiques qui parlent du monde actuel. Ces histoires restent pour moi des valeurs sûres. Gou Tanabe Nouvelle adaptation d'une nouvelle de HP Lovecraft, La couleur tombée du ciel est à nouveau un manga de grande qualité visuelle, le noir et blanc parvenant à transmettre la part d'horreur de l'histoire. Plus brève que d'autres adaptations, celle-ci peut constituer un point de départ appréciable pour découvrir cet univers. Sayaka Murata La fille de la supérette ou Konbini est un court roman qui aura permis à son auteure de recevoir le prix Noma des nouveaux écrivains. Ce roman interroge fortement - sans l'admettre de prime abord - la question des cases, des attendus de la société à l'égard des gens, des femmes en particulier, au regard du travail, de la vie personnelle. La majeure partie de l'action se déroule dans un konbini, petit microcosme et société à part entière où chaque individu à sa place. C'est une lecture intéressante, mais les personnages sont clairement un point faible, dans la mesure où la protagoniste se situe entre autisme et psychopathie. Kosuke Oono La voie du tablier tome 3 est la digne suite des deux tomes précédents ! L'auteur parvient à maintenir un effet comique important et cette série est un très bon divertissement. Dmitry Glukhovsky Métro 2033 est un roman post-apocalyptique reconnu, on comprend aisément pourquoi. L'univers présenté est à la fois très riche, très contrasté et ancré dans le réel. La peur insidieuse que ce lieu de vie - ancien métro - fait ressentir à ses habitants se diffuse aussi au lecteur. Cela en fait un roman accrocheur car l'on a envie de découvrir toujours plus de ce monde horrible et fascinant. Toutefois, je mentirai en disant qu'il s'agit d'une lecture agréable. Les personnages - dont le protagoniste - sont globalement très peu attachants. Loin d'être le seul problème, le style est très descriptif, voire ésotérique et finit par faire décrocher le lecteur. Quant au twist final... s'il porte un message intéressant sur ce qu'est la race humaine, il peut aussi donner l'impression que l'auteur se fiche du lecteur. A découvrir toutefois, c'est un livre sur lequel il faut se faire sa propre opinion. Hirohiko Araki Ayant découvert la saga Jojo Bizarre Adventure ces douze derniers mois, je n'aurais pas tenu longtemps avant de céder à l'envie de connaitre la suite de l'anime en lisant les 17 tomes de la sixième partie : Stone Ocean. Ne connaissant pas les versions manga des parties précédentes, il ne me sera pas possible de donner un avis de ce point de vue. Alors que dire ? Stone Ocean est une partie que j'ai trouvé très addictive. Évoluant en milieu clôt (milieu carcéral) et laissant une part plus importante aux personnages féminins (y compris Jolyne, la protagoniste), cette partie comme chaque autre a un univers qui lui est propre. Les stands ont encore une fois une place majeure dans l'intrigue, et cette partie vient clore l'univers présenté de la partie 1 ...d'une façon assez inattendue. Une bonne lecture, au dessin de qualité et avec une intrigue solide.
In/Spectre
La relation des deux protagonistes est intéressante, conservant une forme de suspense. L'héroïne est handicapée, et comme souvent dans les médias japonais, il n'en ai fait aucun état, et on ne joue à aucun moment sur le pathétique. En bref, un bon divertissement ! Promare
J'ai adoré les personnages, l'écriture très universelle autour de la thématique de la tolérance et de l'opression, la bande originale tout simplement géniale et la relation entre Lio et Galo. Ce n'est pourtant pas un film pour tous, mais il y a de quoi passer un super moment pour ceux qui accrocheront à l'univers graphique et à l'écriture. Omoide poro poro
Re: Zero EX et Hyouketsu no Kizuna
ParasIte
Cela reste un bon thriller et anime d'action, qui vaut le coup d'être découvert. Gundam the origin (I-IV)
Psycho pass
Je n'aurais pas apprécié la saison 2, à l'intérêt bien plus limité, et avec l'insupportable personnage de Mika - bien que le développement de Ginoza soit très agréable. La saison 3 m'aura bien plus plu, avec de nouveaux personnages et des thématiques rafraichissantes, en plus d'un nouveau format. Je déplorerai juste un côté très dense et parfois confus. En résumé, Psycho-Pass est une licence qui mérite d'être connue, bien qu'elle ait des défauts parfois conséquents. My Life as a Villainess: All Routes Lead to Doom!
L'histoire est plutôt bien rythmée et réfléchie, trouvant même une forme de justification cohérente à la fin. A priori une saison 2 est prévue, j'espère qu'elle sera du même niveau que cette première. Kill la kill
Orson Scott Card J'avais déjà lu Personnages et point de vue du même auteur il y a de nombreuses années, et était donc intéressée par son opinion et analyse sur le milieu et l'écriture de fantasy et de science fiction. Le livre est plutôt intéressant, et je l'ai lu sans peine, toutefois, il est sans doute très (voire trop) daté aujourd'hui, et les ressources et exemples restants, non disponibles en français, ne permettent pas de compléter l'expérience. Stephen King J'avais déjà essayé de lire du Stephen King, mais j'avais abandonné en cours de route, l'histoire ne démarrant pas assez vite à mon goût et, de fait, ...m'ennuyant. La peau sur les os est donc un deuxième essai, avec un livre bien plus compact. Encore une fois, j'ai trouvé l'histoire très longue à démarrer. C'est passé la moitié que je me suis vraiment prise dans les péripéties et le suspense de l'histoire. Si la description du scénario et de l'univers est réussie, je n'aurais trouvé aucun personnage attachant, vraiment intéressant. La fin ne m'aura pas tant ça convaincue, même si elle est logique. En bref, malgré les qualités réelles, je pense n'avoir pas apprécié l'histoire dans son ensemble. Diana Wynne Jones Ayant revu l'adaptation Le château ambulant du studio Ghibli, j'ai eu envie de découvrir le roman qui en était la base. ...Ce fut une sacrée surprise. Je m'étais attendue à mieux comprendre certains détails survolés par l'anime (pourquoi de la guerre, situation familiale de l'héroïne...). En fait, l'histoire s'avère différente par bien des points. Le château de Hurle ressemble bien plus à un conte traditionnel, situation familiale de l'héroïne avec la belle-mère et les sœurs et demi-sœurs, combat contre la sorcière qui est au cœur de l'histoire plus qu'une situation dans son ensemble, lien vers notre monde incarné par Hurle - sorte de déception - sachant que le personnage est plus lâche et globalement assez odieux dans le roman. Sophie quand à elle agit souvent sans réfléchir, ce qui nuit à l'attachement que l'on peut lui porter. Lire ce roman est une vrai découverte, chercher un lien ou une prolongation de l'expérience créée par Miyazaki serait je pense une erreur. Le roman se lit bien, et est intéressant, mais le préférer au film me semble impossible. Paka et Cyprien J'ai bénéficié de la lecture de ce tome 1 lors d'une opération liée au confinement. J'ai bien aimé découvrir ce travail. Les personnages sont amusants, l'histoire filée est construite adroitement. Je lirai volontiers la suite un jour. Dunklayth Je n'ai pas pour habitude de parler de ressources disponibles en ligne, mais suite à cette découverte, je ne pouvais pas ne pas rendre hommage à l'univers, l'histoire et les personnages proposés par l'auteur. J'ai en résumé tout aimé dans ce manga : caractère et développement des personnages, les relations qui sont décrites, l'intégration très naturelle de LGBT. L'univers et l'histoire appartiennent clairement à la science fiction - quoique nous ne sommes pas si loin du réel - avec des prothèses très bien dessinée, une mafia très menaçante toujours quelque part. La violence est sous-jacente, et on se sent très vite impliqués dans l'univers, attachés aux personnages. L'histoire est bien menée, et j'ai hâte de découvrir la suite et fin ! Hirama Kaname J'avais entendu parler depuis quelques temps de ce shôjo atypique de par le surpoids assumé de son héroïne. Je dois dire que c'est un bon shôjo, les personnages sont attachants et bien amenés et développés. Les étapes de la trame narrative sont plus ou moins attendues mais restent intéressantes. On attend actuellement la parution en France du dernier tome, sorti récemment au Japon après semble-t-il plusieurs années d'attente. Haruki Murakami J’avais énormément apprécié, en 2017, ma lecture de Kafka sur le rivage. Et en découvrant 1Q84, j’ai retrouvé l’ensemble des qualités qui m’avaient séduite alors. La question serait plutôt, pourquoi ne pas en avoir relu plus tôt ?
J’ai vraiment accroché aux trois romans, et à l’écriture parallèle suivant deux personnages, autour desquels tournent de plus en plus de thématiques communes, comme s’ils étaient reliés par le destin. L’auteur nous les présente énormément, dans leur passé, leurs souhaits, les détails de leur physiques, tics – en passant par leur sexualité. Le style est direct vis-à-vis du lecteur, immersif dans un Japon des années 80, dépourvu de fait de toutes les technologies que nous connaissons et rempli, à la place, de références littéraires, musicales, vestimentaires, qui créent et nourrissent un monde, le rendent concret. À suivre de si près l’intimité de la vie d’Aomame et de Tengo, cela les rend spécialement attachants. Même sans cela, nous en apprenons énormément sur leur entourage, et certains personnages secondaires sont inoubliables de par leur fraicheur et leur extravagance. Ces romans appartiennent à mon sens complètement au Fantastique, de par les éléments en dehors du réel qu’ils intègrent par petite touche, puis de plus en plus. L’histoire nous interroge énormément sur le pouvoir des mots, de l’écrit, mais aussi de la religion – c’est une thématique omniprésente, mais pas de la façon dont on l’attendrait au sein d’un pays comme le Japon. En bref, c’était une lecture captivante et inoubliable. Ace of Diamond - Act II
Welcome to demon school, Iruma-kun !
My Hero Academia - S4
Terror in resonance
Jojo bizarre adventure Diamond is unbreakable
Jojo bizarre adventure Golden Wind
Et j'ai adoré Giorno, appréciant son intelligence, le fait que ce personnage soit volontairement "gris", avec un enjeu autre qu'un combat du "bien" contre le "mal". Il y a également le côté magique de son stand qui fait naître la vie - et vire parfois à la nécromancie. Giorno est un magnifique mélange entre Jonathan Joestar et Dio Brando, et a en même temps un côté christique qui m'a fascinée. Kakegurui
Batman Ninja
Berserk - L'âge d'or
J'ai tout de même apprécié les personnages, leurs relations complexes, leur évolution et leur réalisme, qui constitue un des points forts de l'histoire. Ces films m'auront donné envie d'en savoir davantage, bien que le style graphique de la série m'ait freinée dans cette démarche. MS gUNDAM tHUNDERBOLT : Bandit Flower
Cependant, le point fort de ce film, c'est son design qui est absolument MAGNIFIQUE. On y trouve de nombreux environnements différents, réalisés avec soin. Les armes de guerre sont bien rendues. Les couleurs, parfois fluorescentes, acides, apportent une patte vraiment particulière et que j'ai adorée, décrivant la guerre avec un rien de beauté irréaliste mettant en valeur le fait qu'elle n'a rien de naturel. Enfin, on ne peut pas parler de Thunderbolt sans parler de bande originale. On retrouve ici les morceaux de jazz parfois très perchés qui collent parfaitement à l'action, qui savent faire parvenir la détresse, le malaise, la douleur. On y trouve aussi des morceaux plus accessibles, avec paroles, plus proche du reggae ou de la musique latino. Ce foisonnement donne un côté très musical à ce film, dont la fin ouverte laisse espérer une suite. Contrairement à ce que je pensais possible, je l'attends avec assez d'impatience. Beastar
On parle de l'amour impossible. Des relations complexes entre adolescents. De la découverte de sa sexualité, de ce qu'elle peut avoir "d'anormal" - Legoshi, notre loup, ne désire pas la bonne personne. Sur ce que doivent être les garçons - trop gentil ? trop violent ? - c'est également une forme d'interrogation sur la masculinité, peut-être en lien avec le nouveau vocable d'herbivore et carnivore utilisé au Japon pour désigner ceux des garçons qui prennent ou non l'initiative. Le thème omniprésent de la prédation peut également rappeler le thème de l'amour entre vampire et humain, plus commun dans la littérature. Quant aux autres personnages, ils posent plein de questions au spectateur, entre la lapine qui enchaine les conquêtes, ou le cerf - roi de la forêt - qui reste une proie au final. Il y a de la justesse jusque dans le fan service - et il y en a dans la fin de saison, la même histoire avec des humains aurait été interprétée comme un grand cliché romantique. Un excellent anime dont j'aspire vraiment à découvrir la suite. Haikyu !! To the top
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AuteurJe suis Arlia Eien, auteure de fanfictions, d'articles , d'essai, et d'avis concernant des objets culturels ou des phénomènes liés au fanzinat. Je traduis également des fanfictions. Autres avis
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Juillet 2021
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