Premier road trip et premier séjour en Islande, ce voyage aura été d’autant plus bienfaiteur du fait qu’il aura fait suite à une année pleine sans vraies vacances, tous les projets annulés un par un par la crise sanitaire mondiale que nous avons connue en 2021 - et qui aura été objectivement pire que 2020.
Grands paysages, nature préservée (jusqu’à un certain point), fraicheur relative liée à une latitude élevée près du Pôle Nord, c’était à la fois beau et dépaysant. Quelques mots supplémentaires avant de parler de visites : l’Islande est une destination chère. Très chère. Qui n’aura vu sa concrétisation qu’en raison de plusieurs autres projets annulés. Il est commun de payer une chambre double l’équivalent de 150€ en couronnes islandaises, et d’avoir les sanitaires communs. Les écrans de télévision sont globalement absents (4 nuits sur 15 uniquement, et la moitié du temps, seules trois chaînes anglophones étaient disponibles). Un peu dommage en période de JO ! Les nuits auront été réparties comme suit : 3 nuits d’hôtel, 1 nuit dans un cottage, 3 nuits en chambre d’hôte, 3 nuits dans un studio, et 5 nuits en guesthouse. On peut bien manger en Islande, mais cela a un coût. Les supermarchés ne proposent que peu de produits frais (et peuvent rappeler les supérettes de l’Amérique du Nord), pour 20€, on n’espérera pas manger autre chose qu’une soupe avec du pain, un fish and chips, une pizza ou un burger. Les véritables restaurants proposeront le plat à partir de 35€. Le petit-déjeuner, souvent inclus, est bon, voire excellent, avec du pain frais tel qu’on en trouve peu en voyageant à l’étranger. Un bonheur ! Autre spécificité : le soleil se couche tard (22h30) et se lève tôt (4h). La nuit noire n’existe quasiment pas en été. Difficile de bien dormir lorsque l’on est sensible à la luminosité de la pièce...
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AuteurJe suis Arlia Eien, auteur de fanfictions, d'articles , d'essai, et d'avis concernant des objets culturels ou des phénomènes liés au fanzinat. ArchivesCatégories
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